Né dans les Alpes en février 1963, gascon d’origine, rennais depuis novembre 1963, Antoine Tracou décida très jeune d’être breton. Il faut bien être de quelque part !
À 20 ans, il en prendra le travers en s’exilant à Paris pour faire sa Bécassine comme assistant à la télévision. Antenne 2 et TF1 l’initient aux rudiments de la caméra. Puis il poussera les portes de quelques magazines ambitieux aujourd’hui disparus du PAF : Brut, Archimède (Arte) avant de réaliser des documentaires pour France 5 sur l’environnement et la science. Régulièrement il s’éloigne de la télévision pour réaliser des films pour des ONG : Médecins sans frontières, une série sur la discrimination des personnes séropositives pour Sidaction ou encore des films de sensibilisations pour Sparadrap, une association qui œuvre auprès des enfants à l’hôpital.
Il revient s’installer à Rennes en 2008 pour quelques bols d’iode à la faveur d’une collaboration avec le magazine Littoral de France 3 Ouest. Ses projets se partagent aujourd'hui entre le développement de l’atelier d’ARAN qu’il a participé à créer en janvier 2010 avec Ariel Nathan, et la réalisation de films documentaires.
Ses documentaires pour la télévision :
Trop tard – 2003
Une sale histoire – 2001
La modélisation des comportements – 2001
Le théâtre des OGM – 2001
Le journal d’Esther - 2009
À retrouver sur KuB sur les pages : Suite Armoricaine, L'art de l'autre et Wait & sea.
Il a réalisé un reportage sur le mosaïste Dawa dans le cadre du magazine culturel Le Grand Bazh.art.