Grégoire Barbedor est un autodidacte dans la technique comme dans la musique, tantôt avec des cirques nouveaux comme Les Colporteurs ou Gosh, tantôt en rue avec la compagnie 1 Watt de Pierre Pilate ou pour les installations lumineuses Keyframes du Groupe Laps, tantôt au chaud dans des salles pour des créations sonores de danse contemporaine comme pour les compagnies Ambitrix et l'Yeuse et même des régies son et vidéo au théâtre avec Joël Pommerat & Nasser Djemaï.
Un parcours musical est à peu près aussi éclectique : au tuba de la fanfare bien sûr (notamment Babelouze de Michel Massot) et de l'orchestre mais aussi de plus petites formes comme Labsisi (ensemble de cuivres), la fanfare de chambre Bêtep, Moger ou encore le trio Probablement le Plus Petit Big Band de Bretagne. En y ajoutant le logiciel modulaire d'Olivier Sens Usine des projets plus électroniques comme Kilva Ferbo, GT6, TGNT et incluant aussi du serpent dans Pobl 'ba'r Machin[e] (KBA #6).
Toujours un pied du côté des musiques improvisées au tuba avec le CEPI, Peter Jacquemyn & Jan Pillaert ou en électro-acoustique (avec des objets électronisés comme une étagère, un vélo ou une table, et aussi du synthé analogique et du theremin) dans divers projets.
Des musiques en solo pour des spectacles comme La Loupe (avec de la vidéo en direct) ou la compagnie de danse les Passeurs d'Oz qui incluent de l'électronique et du serpent, de l'aléatoire et de l'improvisation et aussi beaucoup de spatialisation.
Du coté de l'écriture on trouve du conventionnel et même parfois de la direction pour le Bide Bang Venteux (un orchestre/fanfare d'une vingtaine de musiciens) et du concret avec l'utilisation de logiciels modulaires comme Usine pour des installations ou autre créations électro-acoustique.
Il est à retrouver sur la page Sept concerts pour la fin d'un monde sur KuB.