L'histoire d'Harisson Swing démarre par la rencontre entre Maël Dagorne, saxophoniste et chanteur, et Brieuc Largy, guitariste. Ils ont un objectif : vivre de leur art. C'est pourquoi ils décident de prendre la route afin de faire résonner leurs morceaux dans toute la Bretagne. Leur répertoire est composé de reprises de la chanson française, de Brel à Brassens en passant par Dick Annegarn, et de compositions.
Le duo, qui porte le nom de Maëlito, autoproduira l'album Demain j'arrête. Titre prémonitoire ? Sans aucun doute ! Puisqu'ils décident naturellement de se tourner vers un nouveau répertoire, celui du jazz manouche.
Après 150 concerts en duo, Maël souhaite agrandir l'équipage. C'est à ce moment que Vincent Solaire, guitariste, les rejoint en 2013, suivi de Pierre-Olivier Cochet l'année suivante.
Pas de doute, la musique et l'humain animent ce projet rodé de 150 concerts supplémentaires en quartet ! C'est sur la route et soufflé par le public que le nom d'Harisson Swing donnera son identité au groupe !
C'est après la production de leur premier album de promotion Harisson Swing et un concert donné à Quimperlé (29) devant 1500 personnes, qu'un nouveau déclic sera provoqué : le groupe a besoin de plus de chevaux sous le capot et décide alors d'intégrer une batterie. Antoine Gisclong, batteur, tombe à pic.
Après une riche tournée en quintet durant l'été 2017, le groupe souhaite aller plus loin et s’investit alors à la création d'un spectacle dont la première a fait salle comble au Centre culturel Athéna à Auray (56).
En 2019, grâce au soutien de son public, Harisson Swing n'est pas peu fier de présenter son nouvel album BivouaK ainsi que le clip J'en ai marre.
En studio ou sur scène, le quintet explore les univers musicaux, partagent le studio avec des artistes incroyables et continue à avancer dans son grand voyage musical.