-
Je n'aurais pas dû manger le chat
de Matt MandibulLes confessions d’une créature composite, mi-organique mi-mécanique, un androïde de bric et de broc. Un être sensible, rongé par un remord, celui d’avoir mangé le chat de son maître.
-
Horace
de M. Simon & S. VallasHorace aborde de front deux thématiques : celle des mères tyranniques et celle du rapport entre le réel et ses représentations.
-
Un soir de mars
de Joseph MinsterQuelque chose se trame dans ce tableau impressionniste, quelque chose d’inhabituel, une tragédie sourde qui peine à s’exprimer. La mort bien sûr.
-
T'es con Simon !
de Claire BarraultAlain rend visite à son petit-fils, Simon qui a effectué une tentative de suicide pour la première fois. Désemparé face à ce geste, Alain tente de tourner la situation en dérision
-
À l'horizon
de Lauriane LagardeCamille s’ennuie dans le petit appartement de cité où elle vit avec sa mère. En attendant un signe de son père, elle rêve de repousser les murs de sa chambre.
-
Son Indochine
de Bruno ColletLe soir de l'anniversaire d'Émile, un événement fait ressurgir ses souvenirs d'ancien combattant en Indochine. Un film d’animation réalisé par Bruno Collet.
-
La fin du monde
de Michael HavenithUn soir d’orage au supermarché peu avant Noël, une coupure de courant sème le désordre. Un film métaphorique sur l’inertie humaine face à la crise écologique.
-
Tout ce qui n'a pas de fin mérite une révolution
du Collectif Makiz'artEt si l’extinction des espèces affectait aussi les petites cuillères et les chaussettes ? C’est de ces incongruités-là que s’empare l’essai cet cinématographique.
-
Ma maison
de Lisa DiazUn homme revient dans la maison de sa mère peu de temps après sa mort et découvre au dos des photos de famille des courts poèmes qui lui font froid dans le dos.
-
Autopsie
de Pauline GoasmatUn père et son fils déménagent la maison de la grand-mère défunte, deux présences au milieu des objets qui survivent à une vie.
-
[Poésie réelle]
La ville s'endormait
d'O Morandeau & T Le GoffLa ville s’endormait est un poème au réalisme cru, une romance copieusement arrosée, un hymne « à tous les travelos et alcoolos qui se sont un jour aimés ».